lundi 30 novembre 2009
Le climat. Les consequence.
INTRODUCCION :
Lors de la canicule de l'été dernier, l'homme a effronté et pris en considération plus qu'avant les changements que subissait notre climat. Toutes ces modifications qualitatives des paramètres normaux du climat planétaire, tous ses signes alarmants, font douter l'homme de la stabilité de notre climat actuel, et de plus en plus de personnes se demandent quelles en seront les conséquences...
Ainsi, nous pouvons nous demander quelles sont réellement ces conséquences sur la biosphère.
Nos chercheurs restent perplexes quant à cette évolution du climat influencée par l'homme d'une part, mais aussi et surtout par le cours du temps. Ces derniers ne peuvent que constater les conséquences présentes des changements climatiques sur notre planète, tout en émettant des réserves sur les conséquences futures.
Ce dossier est constitué de trois grandes parties; la première concerne l'évolution du climat influencée par l'homme, elle est organisée selon deux thèmes: les secrets du climat terrestre et les surprises climatiques.
La seconde partie présente les différentes conséquences présentes des changements climatiques sur la faune, la flore et la santé humaine d'une part, et sur les risques naturels d'autre part.
Et enfin, la troisième et dernière partie s'attarde sur les prévisions des futurs changements climatiques
LES CONSEQUENCES :
Le réchauffement climatique a des conséquences très préoccupantes sur l'homme et l'environnement :
• réchauffement des terres émergées et des latitudes élevées
• fonte des glaciers , diminution voire disparition dans certaines zones de la glace dans l'Arctique et l'Antarctique
• élévation du niveau de la mer provoquant des inondations des zones côtières, à cause de l'augmentation de la température de l'eau, la dilatation de l'eau chaude la rendant plus volumineuse que l'eau froide
• perturbation voire destruction de certains écosystèmes
• extinction d'espèces
• extension du désert
• recrudescence de maladies infectieuses, qui s'étendront vers le Nord
• vagues de chaleurs plus intenses
• fortes pluies plus fréquentes et denses
• cyclones, typhons et ouragans plus intenses, avec des vents et précipitations plus violents ainsi que des inondations, provoquant des dommages humains et matériels graves
• baisse de la ressource en eau potable
• migration de masse des peuples subissant le réchauffement climatique
Selon un rapport du Forum humanitaire mondial publié en 2009 et présenté par Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies, le réchauffement climatique tue 300 000 personnes par an.
Ce sont les pays du Sud, et les 325 millions de personnes les plus pauvres du monde qui sont les plus touchés par le changement climatique. Ouragans, cyclones, inondations, pluies torrentielles, vagues de sécheresse, élévation du niveau de la mer... menacent de nombreux pays et des milliards d'hommes et de femmes.
Les modélisations du Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC) sur les conséquences du réchauffement climatique rencontrent un consensus scientifique, avec des prévisions qui s'aggravent au fil du temps (courant 20ème et 21ème siècle).
Les perspectives d'augmentation de température varient entre 1,8°C et 4°C d'ici la fin du siècle, augmentation qui ne sera pas répartie uniformément sur la planète : au Pôle Nord, les températures moyennes des dix dernières années ont augmenté 2 fois plus vite qu’au niveau mondial.
BIBLIOGRAPHIE
Nom du site : Quelles consequences decoulent du changement climatique ?
Date :28/11/09
Titre du doc : Introduccion
Disponible : http://www.ac-creteil.fr/lycees/94/mperretalfortv/voir/tpe/TPE%20SA/tpe.htm
BIBLIOGRAPHIE :
Nom du site : vedura
Date :28/11/09
Titre du doc : consequences de rechaufemant climatique
Disponible : http://www.vedura.fr/environnement/climat/consequences-rechauffement-climatique
BIBLIOGRPHIE
Date :28/11/09
Disponible : http://www.monmoulins.com/images/manif_climat.jpg
lundi 23 novembre 2009
Journée mondiale climat
Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :
° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.
Le 8 décembre, pour la « Journée mondiale du climat », rejoignez les évènements partout en France pour exiger que les promesses politiques soient enfin tenues !
A l'initiative de plusieurs associations écologiques de France et de Belgique, nous fêtons, le 8 décembre, la journée mondiale du climat (ou journée mondiale contre le changement climatique). Notre indépendance éditoriale nous oblige tout de même à signaler que les sites de ces associations relayent tous les mêmes "vérités" préfabriquées et ne démontrent pas grand chose... à les écouter, il "suffirait" de réduire de façon draconienne la consommation d'énergie sur la planète... on imagine vite le réalisme de telles propositions.Nous avons donc recherché des sites environnementaux qui nous paraissaient donner des informations plus fiables et nous vous proposons de les visiter (leurs contenus restant sous la responsabilité de leurs auteurs)
Nous vous proposons aussi de découvrir les propositions peu conformistes de l'ancien ministre Claude Allègre... qui prend le contre-pieds des lobbies écolos. Même si vous n'êtes pas en accord avec les thèses qu'il défend, vous ne pourrez que reconnaître qu'il nous oblige à nous poser de bonnes questions et qu'il est toujours bon de trouver des chercheurs qui ne se sentent pas obligés de bêler avec l'ensemble du troupeau !
BIBLIOGRAPHIE :TITRE : Du local au global, agissons contre le changement climatique
SITE :8 decembre journée mondiale climat
DATE :23/11/09
DISPONIBLE : http://www.rac-f.org/8decembre
BIBLIOGRAPHIE :
TITRE : 8 décembre : Journée Mondiale du Climat
SITE :journée mondiale
DATE :23/11/09
DISPONIBLE : http://www.journee-mondiale.com/187/8_decembre-climat.htm
° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.
Le 8 décembre, pour la « Journée mondiale du climat », rejoignez les évènements partout en France pour exiger que les promesses politiques soient enfin tenues !
A l'initiative de plusieurs associations écologiques de France et de Belgique, nous fêtons, le 8 décembre, la journée mondiale du climat (ou journée mondiale contre le changement climatique). Notre indépendance éditoriale nous oblige tout de même à signaler que les sites de ces associations relayent tous les mêmes "vérités" préfabriquées et ne démontrent pas grand chose... à les écouter, il "suffirait" de réduire de façon draconienne la consommation d'énergie sur la planète... on imagine vite le réalisme de telles propositions.Nous avons donc recherché des sites environnementaux qui nous paraissaient donner des informations plus fiables et nous vous proposons de les visiter (leurs contenus restant sous la responsabilité de leurs auteurs)
Nous vous proposons aussi de découvrir les propositions peu conformistes de l'ancien ministre Claude Allègre... qui prend le contre-pieds des lobbies écolos. Même si vous n'êtes pas en accord avec les thèses qu'il défend, vous ne pourrez que reconnaître qu'il nous oblige à nous poser de bonnes questions et qu'il est toujours bon de trouver des chercheurs qui ne se sentent pas obligés de bêler avec l'ensemble du troupeau !
BIBLIOGRAPHIE :TITRE : Du local au global, agissons contre le changement climatique
SITE :8 decembre journée mondiale climat
DATE :23/11/09
DISPONIBLE : http://www.rac-f.org/8decembre
BIBLIOGRAPHIE :
TITRE : 8 décembre : Journée Mondiale du Climat
SITE :journée mondiale
DATE :23/11/09
DISPONIBLE : http://www.journee-mondiale.com/187/8_decembre-climat.htm
BIBLIOGRAPHIE :
DISPONIBLE : http://ecoloinfo.com/wp-content/uploads/2009/10/action_climatique_350.png
dimanche 15 novembre 2009
samedi 24 novembre
Notre culture de consommateur est souvent absurde. Nous achetons pour nous sentir bien, nous achetons pour impressionner les autres. Le résultat de l'idéologie de consommation, c'est la négation de l'humanisme. Notre culture de consommation engendre un pillage : 20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment 80 % des ressources planétaires. Notre culture de consommation est tragique. Nous risquons d'avoir épuisé la majeure partie des ressources de la planète avant 2050. Le résultat de la société de consommation et de l'économie de croissance, c'est la mort de la nature. L'espoir pour une évolution de la conscience humaine tient dans les actions de chacun, chaque jour.Les idées sont faites pour être vécues.Alors, faisons un geste. Pour un jour, nous pouvons arrêter d'acheter.
Annoncez-le autour de vous. Dites-le à vos amis. Impliquez votre famille. Simplifiez votre vie. Copiez l'affiche de la Journée Sans Achat. Placardez-la à votre travail, chez vos voisins, partout autour de vous. Fêtons la Journée sans achat.
BIBLIORPHIE:
Titre du doc: Samedi 24 novembre - Journée internationale sans achat
Titre du doc: Samedi 24 novembre - Journée internationale sans achat
date:15/11/09
site:cooperation
La journée mondiale sans achat
La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées.
Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber.
La biodiversité s’effondre.
C’est aujourd’hui que l’extraction du pétrole entre en déclin.
La société de consommation engendre un pillage et l’injustice :
20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires.
Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières.
La société de consommation est mortifère, elle réduit l’humain à n’être qu’un agent économique : producteur-consommateur.
Elle nie nos dimensions politique, culturelle, philosophique, poétique ou spirituelle qui sont l’essence même de notre humanité.
Nous devons nous libérer de cet obscurantisme qui consiste à croire en la toute-puissance de la technoscience et à nous défausser sur elle de nos responsabilités.
La science repose sur le doute et non sur la foi.
L’espoir est de réanimer notre conscience et de traduire nos idées au quotidien dans nos actions.
Renouons avec notre capacité d’autolimitation, individuellement, avec la simplicité volontaire, et collectivement, grâce à la décroissance.
Dès aujourd’hui, faisons un geste symbolique :
pour une journée, ce samedi 25 novembre... cessons d’acheter.
Annoncez-le autour de vous. Dites-le à vos amis.
Impliquez votre famille. Simplifiez votre vie.
Copiez l’affiche de la Journée sans achat.
Placardez-la à votre travail, chez vos voisins, partout autour de vous.
Fêtons la Journée sans achat.
Organisez une action dans votre ville et participez à la Journée sans achat.
BIBLIGRAPHIE:
date:15/11/09
site:ACTIONCONSO
titre du document:journée mondiale sans voiture
disponible:http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-internationale-sans-achat.html
Réduire la consommation
La lutte contre les gaz à effet de serre (GES), afin de limiter les changements climatiques, a déjà fait l'objet d'un plan relativement détaillé du gouvernement du Québec, tandis que le fédéral vient de faire l'annonce de projets fragmentés.
Aucun des deux ordres de gouvernement cependant ne fait état de la réduction de la consommation générale comme élément stratégique de son plan. En effet, les initiatives du Québec et du Canada abordent surtout la question sous l'angle des améliorations technologiques et de l'accroissement des investissements, principalement dans les domaines du transport, du bâtiment et de la production énergétique. Pourtant, le simple fait de réduire la consommation pourrait être une mesure extrêmement rapide, efficace et peu coûteuse. Elle ne nécessiterait que des ressources pour concevoir des campagnes de publicité.
La publicité pour inciter à moins consommer serait évidemment «le monde à l'envers». De toute évidence, aucun gouvernement ne veut actuellement réduire la croissance économique, laquelle est liée directement à la production et à la consommation. Et pourtant, il n'y a pas d'autres moyens réellement efficaces de lutter à long terme contre les changements climatiques et d'aborder dans son ensemble la question de la conservation de l'environnement. L'approche des gouvernements actuels, qui s'appuie sur des investissements toujours plus considérables, est une fuite en avant.
Date : 15/11/09
Nom du site : le devoir
Adresse html : http://www.ledevoir.com/2007/02/06/130015.htm
Titre du doc: La réduction de la consommation
lundi 2 novembre 2009
Le co2
La taxe carbone a popularisé cette nouvelle unité de mesure qui scrute la moindre émission de gaz à effet de serre. Un outil pratique mais dont le prix reste difficile à évaluer.
Une douche, un steak haché, une heure de surf sur Internet, un kilomètre en train, en voiture ou en avion : nos moindres faits et gestes sont désormais scrutés par un nouveau mètre étalon : la tonne de CO2. Celle-ci permet de quantifier la quantité de dioxyde de carbone et d'autres gaz à effet de serre émis dans l'atmosphère lors d'une activité, contribuant ainsi au réchauffement de la planète.Cette unité de mesure est un puissant outil de comparaison. Par exemple, on s'aperçoit que la production d'un kilo de viande de veau rejette la même quantité de gaz à effet de serre qu'un trajet en voiture de 220km. De même, en moyenne un Français émet 6 tonnes de CO2 par an, un Américain 20, et un Ghanéen 0,4.
Entre 10 et 100 euros la tonne de CO2
Mais quel prix lui donner ? Le débat sur la taxe carbone a mis en lumière la question sensible du prix de la tonne de CO2. Le groupe d'expert de Michel Rocard préconisait un prix plancher de 32 euros, mais le gouvernement semble s'arrêter sur 14 euros.L'idéal serait d'évaluer le coût des dommages liés à une tonne de dioxyde de carbone aujourd'hui émise dans l'atmosphère. Toutefois, en l'absence de consensus parmi les économistes, elle conduit à une fourchette relativement large, allant de 10 à 100 euros la tonne de CO2.Michel Rocard propose lui de calculer le prix du carbone qui obligera les acteurs économiques à s'adapter pour respecter l'engagement de la France de diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050. "Plus vous mettez un prix élevé, plus les ménages et les industriels vont faire des efforts pour réduire leurs émissions de CO2", explique Christian Gollier, professeur d'économie à l'université Toulouse I.Une troisième méthode consiste à mettre en place un "marché de permis" comme l'Europe l'a fait pour l'industrie lourde (producteurs d'électricité, d'acier, de ciment etc...), et observer quel est le "prix du marché".Mais à l'image de celui du marché du pétrole ou du charbon, ce dernier peut être d'une grande volatilité.
date:2/11/09
nom du site: Nouvel obs.com
adresse: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/environnement/20090904.OBS9989/cest_quoi_une_tonne_de_co2_.html
Une douche, un steak haché, une heure de surf sur Internet, un kilomètre en train, en voiture ou en avion : nos moindres faits et gestes sont désormais scrutés par un nouveau mètre étalon : la tonne de CO2. Celle-ci permet de quantifier la quantité de dioxyde de carbone et d'autres gaz à effet de serre émis dans l'atmosphère lors d'une activité, contribuant ainsi au réchauffement de la planète.Cette unité de mesure est un puissant outil de comparaison. Par exemple, on s'aperçoit que la production d'un kilo de viande de veau rejette la même quantité de gaz à effet de serre qu'un trajet en voiture de 220km. De même, en moyenne un Français émet 6 tonnes de CO2 par an, un Américain 20, et un Ghanéen 0,4.
Entre 10 et 100 euros la tonne de CO2
Mais quel prix lui donner ? Le débat sur la taxe carbone a mis en lumière la question sensible du prix de la tonne de CO2. Le groupe d'expert de Michel Rocard préconisait un prix plancher de 32 euros, mais le gouvernement semble s'arrêter sur 14 euros.L'idéal serait d'évaluer le coût des dommages liés à une tonne de dioxyde de carbone aujourd'hui émise dans l'atmosphère. Toutefois, en l'absence de consensus parmi les économistes, elle conduit à une fourchette relativement large, allant de 10 à 100 euros la tonne de CO2.Michel Rocard propose lui de calculer le prix du carbone qui obligera les acteurs économiques à s'adapter pour respecter l'engagement de la France de diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050. "Plus vous mettez un prix élevé, plus les ménages et les industriels vont faire des efforts pour réduire leurs émissions de CO2", explique Christian Gollier, professeur d'économie à l'université Toulouse I.Une troisième méthode consiste à mettre en place un "marché de permis" comme l'Europe l'a fait pour l'industrie lourde (producteurs d'électricité, d'acier, de ciment etc...), et observer quel est le "prix du marché".Mais à l'image de celui du marché du pétrole ou du charbon, ce dernier peut être d'une grande volatilité.
date:2/11/09
nom du site: Nouvel obs.com
adresse: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/environnement/20090904.OBS9989/cest_quoi_une_tonne_de_co2_.html
Inscription à :
Articles (Atom)