vendredi 30 octobre 2009

Le changement climatique




Le réchauffement climatique est un phénomène irréversible dans lequel nous sommes engagés pour le prochain millénaire

Nos marges de manœuvre possible sont étroites. Nous devons revenir à un nouvel équilibre. Afin de revenir à cet équilibre, les scientifiques ont calculé que notre crédit d’émission est de l’ordre de 1,8 tonnes de CO2 par personne par année. Cela revient à dire, qu’en l’état actuel des choses, un individu a atteint la quantité maximale de CO2 qu’il peut émettre (qu’il a le droit d’émettre pour respecter l’objectif fixé de 1,8 tonnes de CO2) en effectuant un seul aller-retour Paris/New York par année.

Ainsi si nous voulons diminuer nos émissions de CO2 afin de limiter les effets des changements climatiques il faudra limiter nos activités, nos déplacements, notre consommation... afin de respecter l’objectif de 1,8 tonnes de CO2 par personne. Cela sera très difficile à atteindre.

Pour la France, l’objectif est de diviser par quatre l’ensemble des émissions de CO2 du pays. Évidemment plus on démarre rapidement en adoptant des mesures volontaristes, tels que le Protocole de Kyoto, plus il sera facile de stabiliser les émissions. Le contraire étant aussi vrai, plus on attend, plus il sera difficile et coûteux pour les États de limiter leurs émissions de gaz à effet de serre... et pour les individus !

Date : 30/10/09

Site : paricité l’environnement a la cité

Titre du doc : Emissions de CO2 par personne pour limiter les changements climatiques

Disponible :http://www.paricite.org/spip.php?article13

Journeé mondiale sans voiture.


Le 22 septembre : La journée mondiale sans voiture
Lancée pour la première fois en 1998 à l'initiative de la France, la journée mondiale sans voiture est fêtée chaque année le 22 septembre.
Elle tend cependant à être remplacée par la semaine européenne de la mobilité,ou "semaine des transports", mise en place en 2007, qui promeut l'utilisation des transports en commun (ticket à 1 € valable toute la journée), et qui se déroule du 16 au 22 septembre.

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain.
Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou les nuisances sonores, mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville : moins d'encombrement, possibilité de se déplacer à pied sans côtoyer les pots d'échappements, se réapproprier l'espace urbain...
C'est également l'occasion de réfléchir aux solutions alternatives à la voiture individuelle, comme les transports en commun, les nouvelles générations de « voitures propres » ou encore des solutions comme le co-voiturage.
Bien évidemment, la marche et le vélo restent les deux solutions à privilégier !

Nos sociétés modernes sont envahies par les voitures, et cela malgré les nombreuses alertes sur les nuisances que les voitures occasionnent. Conférence après conférence, il est dit combien il est urgent et nécessaire de remédier à ce problème et de privilégier les solutions alternatives, mais le constat est là : la journée mondiale sans voiture s'essouffle et, au fil des éditions, est de moins en moins suivie.

En France, 72 villes prenaient part à l'opération en 2008 contre 98 l'année précédente.

ET DANS LE RESTE DU MONDE?
Des reculs ont aussi été constatés en Europe comme dans le reste du monde :

Au Portugal, une quarantaine de villes étaient officiellement concernées en 2008 par la journée sans voiture, contre 54 en 2004.
Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes.
Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

En Asie, cette journée mondiale a été un fiasco.
Taïwan est le seul pays à s'être réellement joint au mouvement. Mais même si dans la capitale, Taipei, des milliers de personnes avaient choisi la bicyclette ou la marche, le trafic y était toujours aussi dense, comme du reste à Jakarta.
Quant aux 500 cyclistes qui ont manifesté à Pékin "pour l'environnement", ils ont dû trouver refuge dans un parc afin d'échapper à la meute des voitures, dont le nombre a explosé de 77% en Chine depuis 2003.

Les autorités de Singapour ont rejeté l'événement et le Pakistan l'a ignoré.
Les pays du Proche et du Moyen-Orient, où la voiture est reine et où le carburant est souvent moins cher que l'eau minérale, ont eux aussi totalement ignoré l'opération.

BIBLIOGRAPHIE:

DATE :30/10/2009

SITE :Le Blognotes de Solidairesdumonde

TITRE DU DOC : 22 septembre : La journée mondiale sans voiture

DISPONIBLE : http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

jeudi 15 octobre 2009

C'est quoi la faim dans le monde?




La faim dans le monde, un scandale qui dure Notre 21ème siècle commençant connaît un scandale dont on parle, hélas, trop peu : celui de la faim dans le monde. Il est à peine croyable qu’à l’époque de la conquête spatiale et des communications instantanées à travers le globe par Internet, ce fléau moyenâgeux qu’est la famine frappe encore de grandes étendues, parfois des nations entières.
Le rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (la FAO), publié le mois dernier, le montre : 850 millions de personnes, soit un terrien sur six, souffrent de faim ou de malnutrition ; un enfant en meurt toutes les cinq secondes.
Ce triste bilan de la faim dans le monde montre qu’en dépit des progrès technologiques et de la croissance, le fléau résiste : il y a aujourd’hui en valeur absolue autant d’affamés dans notre monde qu’il y a quinze ans. Si leur part a légèrement diminué en pourcentage (en 1990, environ 20 % des humains avaient faim), c’est seulement parce que la population mondiale a globalement augmenté. L’ « objectif du Millénaire » fixé en 2000 -réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées d’ici 2015 - ne sera pas atteint.
Il y a une géographie de la faim. Même dans les pays riches, on est surpris de constater que la malnutrition existe encore, malgré tous les programmes sociaux, parmi les exclus : au total, neuf millions d’habitants des pays industrialisés ont faim ; c’est aussi le cas de 25 millions dans les pays dits « en transition ». Mais on ne sera pas étonné que pour l’essentiel, la famine aille de pair avec le sous-développement : elle recule fortement là où la croissance est importante, comme en Chine, en Asie du Sud-est, et en Amérique Latine. Dans mon enfance, il était courant de dire : « mange ta soupe, pense aux petits Chinois qui ont faim ! ». Aujourd’hui, seules les zones rurales les plus reculées de la Chine connaissent la faim. Même l’Inde, en passe de devenir la première puissance démographique du monde, voit la faim reculer ; elle tire le profit de la « révolution verte » avec l’amélioration des semences et des façons culturales. A l’inverse, les régions affamées s’identifient largement aux zones les plus en retard dans la voie du développement, c’est-à-dire en grande partie à l’Afrique Noire (en 15 ans, le nombre de personnes sous-alimentées s’est accru de 12 % en Afrique de l’Est et de 25 % en Afrique Centrale), mais aussi certains pays du Proche et Moyen Orient (y compris le Pakistan), ou de l’arc andin en Amérique du Sud et quelques pays d’Asie Orientale.
Cette carte recouvre, bien sûr, largement celle du dénuement financier absolu. On sait que 1,1 milliard d’humains vivent avec moins d’un dollar par jour. Cependant, il y a des pays très pauvres qui parviennent à faire reculer la famine et des pays nettement plus riches où l’on souffre de la faim malgré un revenu par tête dix fois plus élevé que les précédents ; l’Irak en est un exemple frappant. La carte de la sous-alimentation recoupe également, en grande partie, celle du manque d’eau potable : là encore, le chiffre est énorme : plus d’un milliard d’humains n’ont pas accès à une eau propre.
Bibliographie:
Disponible: http://www.canalacademie.com/La-faim-dans-le-monde.html

Date:15/10/09
Nom du site: La faim dans le monde
Titre du doc: La faim dans le monde

Les conséquences de la faim dans le monde





Il existe plusieurs maladies reliées à la faim structurelle.

Le kwashiorkor : C'est une lente destruction du corps. Les enfants cessent de grandir. Leurs cheveux deviennent roux, puis ils tombent, le ventre gonfle, les dents tombent elles aussi. L'enfant ou l'adolescent meurt lentement. Le marasme a presque les mêmes symptômes.

La cécité: À cause du manque de vitamine A, des centaines de milliers d'enfants perdent la vue.

500 000 femmes africaines meurent chaque année pendant l'accouchement, car leurs corps affaibli ne résiste pas à la moindre infection.

Plusieurs maladies et des épidémies depuis longtemps vaincues chez nous font surface dans les pays pauvres comme la polio, la tuberculose et la scarlatine.

Les détritus des riches nourrissent des millions de pauvres affamés dans des millions de bidonvilles du tiers-monde. Ces nourritures infestées, plus l'air et l'eau empoisonnés, les rats et les moustiques sont les causes de l'expansion de plusieurs maladies, entre autres des maladies des poumons et de la peau, des vers, de la méningite et de la vermine (infection parasitaire qui rongent les personnes faibles). La pire conséquence de la faim dans la monde c'est la mort ou de vivre le ventre vide toute sa vie.

Bibliographie :

Nom du site : C’est quoi la faim dans le monde ?

Disponible : http://pages.infinit.net/cybersoc/faim/pagecadre.htm

Date : 15/10/09

Titre du doc : Les conséquences de la faim dans le monde

La faim dans le monde.


Le Programme alimentaire mondial (PAM) a souligné jeudi 16 octobre, dans un
message à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, organisée
jeudi 16 octobre, que "malgré les généreuses donations de la communauté
internationale, des millions de personnes souffrent encore de la faim", Pour
l'agence des Nations unies basée à Rome, "le PAM est confronté à la plus
importante demande d'aide alimentaire en quarante ans".


"Cette année, le PAM a besoin de plus de 4,3 milliards de dollars pour aider
à nourrir 110 millions de personnes, mais il lui manque encore 600 millions
de dollars", a déploré l'agence onusienne. "Parmi les populations qui
souffrent de la faim, il y a des centaines de milliers de Libériens que les
organisations internationales sont toujours dans l'impossibilité de
secourir", a précisé le PAM.


en Ouganda, la rébellion dans le district de Teso empêche l'acheminement de
l'aide alimentaire destinée à 292 000 personnes déplacées", a ajouté
l'agence. Le PAM alerte également sur les difficultés alimentaires en Corée
du Nord et en Haïti.


"Il est inacceptable que la faim et la malnutrition soient encore
aujourd'hui la principale cause de la mortalité dans le monde", a dénoncé le
directeur du PAM, l'Américain James Morris. "Des millions de gens comptent
sur nous pour leur repas quotidien et nous devons parler d'une voix forte
pour alerter sur cette situation", a-t-il insisté.


Plus de 800 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde et les
chefs d'État et de gouvernement se sont engagés à plusieurs reprises à tout
mettre en ¦uvre pour réduire le nombre de moitié d'ici à 2015, a rappelé le
PAM.


BIBLIOGRAPHIE :

DATE :15/10/2009

SITE :SOS-PLANET

TITRE DU DOC : LA FAIM DEMEURE LA PRINCIPALE CAUSE DE MORTALITE DANS LE MONDE

DISPONIBLE : http://terresacree.org/faim.htm

vendredi 2 octobre 2009

Les services d'eau


Les services d’eau en France fonctionnent selon des modèles anciens, ayant pr ouvé leur efficacité, et sont même reconnus internationalement comme l’ « école française de l’eau ». Mais ces illustres acquis ne dispensent pas ces services d’évoluer. Ce modèle doit en effet s’adapter aux nouvelles exigences du public de sécurité sanitaire, de transparence dans la gestion et de respect de l’environnement. Se pose dès lors la question de savoir si les récentes évolutions intervenues dans le régime juridique encadrant cette activité (la récente loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 réforme en effet la politique de l’eau en France) s’inscrivent bien dans une démarche que l’on peut qualifier de « développement durable »?Le développement durable n’est pas qu’une formule ; cette notion est intégrée en droit interne, non seulement dans le Code de l’environnement, mais aussi -au sommet de la hiérarchie des normes- dans la Charte de l’environnement. Dans l’encadrement des services d’eau se retrouvent des préoccupations qui relèvent sans conteste du concept de développement durable dans ses aspects économiques et sociaux ou environnementaux.Nous pourrons ainsi constater que si les premiers semblent une réelle préoccupation pour nos gouvernants (reconnaissance d’un droit à l’eau, consécration des principes d’information et de participation), les exigences environnementales (notamment le principe pollueur-payeur) ne sont pas toujours pleinement intégrées dans le droit des services d’eau.

jeudi 1 octobre 2009

Le climat




Le climat se définit comme une description des moyennes et des extrêmes météorologiques en un endroit limité. Le climat est naturellement variable comme en témoigne l'irrégularité des saisons d'une année sur l'autre.
Cette variabilité est normale, et tient aux fluctuations des courants océaniques, aux éruptions volcaniques, au rayonnement solaire et à d'autres composantes du système climatique encore partiellement incomprises. De plus, notre climat aussi a ses extrêmes (comme les inondations, sécheresses, grêle, tornades et ouragans), qui peuvent devenir dévastateurs.
Cependant, depuis quelques décennies, un certain nombre d'indicateurs et d'études montrent que le climat se réchauffe à l'échelle du globe... Un phénomène inquiétant qui nous interpelle sur nos activités massivement émettrices en gaz à effet de serre.
L'effet de serre est un phénomène naturel, indispensable à la vie sur Terre et qui assure une température moyenne de +15°C environ au lieu de -19 °C. En fait, une température de -19°C ferait geler les océans, ce qui augmenterait considérablement leur albédo (pouvoir réflecteur) faisant chuter les températures autour de -100°C...
La Terre reçoit la majeure partie de son énergie du soleil (principalement sous forme de lumière visible), une partie est directement réfléchie, une autre absorbée et une dernière rayonnée sous forme d'infrarouges par notre planète. Le rayonnement infrarouge émis par la Terre est en partie intercepté par les gaz à effet de serre de l'atmosphère terrestre tandis que le reste est diffusé vers l'espace.
Ainsi, la vapeur d'eau, le méthane, le dioxyde de carbone et le protoxyde d'azote, qui sont les principaux gaz à effet de serre (GES) contribuent à piéger l'énergie renvoyée, augmentant la température moyenne de la Terre. En effet, ce sont les gaz à structure polyatomique (au moins 3 atomes) qui retiennent le rayonnement infrarouge au contraire des molécules diatomiques (99% de l'atmosphère) qui ont une structure trop simple.
Notons le double rôle des nuages dans l'effet de serre : vis-à-vis du rayonnement solaire, les nuages agissent principalement comme un parasol qui renvoie vers l’espace une grande partie des rayons du Soleil. Le pouvoir réfléchissant, ou albédo, des nuages épais à basse altitude, est ainsi très élevé, de l’ordre de 80%. Par contre, les cirrus qui sont des nuages d'altitude constitués de cristaux de glace, ont un effet parasol très faible puisqu’ils sont transparents mais participent fortement à l'effet de serre.

date:23/09/09
site:notre-planète.info
titre du doc: les climats
disponible:http://www.notre-planete.info/geographie/climatologie_meteo/...