samedi 30 janvier 2010

Qu'est-ce-que une zone humide?





Introduction : Les zones humides en France sont nécessaires et protégées par différentes causes que l’on va voir maintenant.

Une définition des zones humides est donnée dans la loi sur l'eau. Depuis cette loi de 1992, la législation s'est considérablement enrichie en faveur de la protection et de la gestion des zones humides.
Les zones humides du bassin sont nombreuses et jouent un rôle fondamental pour la conservation de la biodiversité et contribuent à la qualité de la ressource en eau.Et pourtant, en 30 ans, la moitié des zones humides a disparu en France (Etymologie et toponymie). Devant ce constat alarmant, différentes mesures ont été prises pour enrayer leur disparition à l'échelon national dans le Plan d'Actions Zones Humides et au niveau bassin dans le cadre du Schéma
Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE).(1)
Les zones humides, espaces de transition entre la terre et l’eau, constituent un patrimoine naturel exceptionnel, en raison de leur richesse biologique et des fonctions naturelles qu’elles remplissent. Les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus riches du monde, elles fournissent l’eau et les aliments à d’innombrables espèces de plantes et d’animaux. Ce sont des milieux de vie remarquables pour leur diversité biologique.(2)

Comment les zones humides condamnées à l’assainissement sont-elles devenues des zones à protéger ?
Les animateurs de cette soirée sont chercheurs à Orléans. Si E. Gauthier s’intéresse davantage les fleuves et eaux courantes, B. Sajaloli s’occupe des eaux stagnantes et des zones humides.
Ces milieux ont une dimension psychologique très forte ; si ils ont été perçus pendant longtemps comme des espaces de miasmes et de fange, ils font aujourd’hui l’objet d’une attention particulière et de politiques de protection. (3)

Conclusion : Les zones humides en France sont protégées car elles servent pour la conservation de la biodiversité et pour les ressources d’eau. Grâce à ces zones, beaucoup d’animaux et de plantes se nourrissent. On peut dire alors que c’est une des plus importantes choses à protéger.

BIBLIOGRAPHIE (1) :
Date : 30/01/10
Disponible : http://www.corse.eaufrance.fr/zones-humides/index.php
Titre : Les zones humides
Nom du site : L’eau dans le bassin de Corse

BIBLIOGRAPHIE (2) :
Date : 30/01/10
Disponible : http://www.ecologie.gouv.fr/-Zones-humides-.html
Titre : Zones humides
Nom du site : Ministère de l’Écologie, l’Énergie, du Développement durable et de la Mer.
BIBLIOGRAPHIE (3) :
Date : 30/01/10
Disponible : http://www.cafe-geo.net/article.php3?id_article=141
Titre : Les zones humides
Nom du site : Cafés Géographiques

vendredi 29 janvier 2010

Les zones humides


Une zone humide est une région où l’eau est le principal facteur qui contrôle le milieu naturel et la vie animale et végétale associée. Elle apparaît là où la nappe phréatique arrive près de la surface ou affleure ou encore, là où des eaux peu profondes recouvrent les terres. Actuellement, les principales zones humides françaises métropolitaines (hors vasières, milieux marins , cours d’eau et grands lacs) représentent environ 1,5 millions d’hectares, soit 3% du territoire métropolitain. Plus de 50% des espèces d’oiseaux dépendent des zones humides et 30% des espèces végétales remarquables et menacées en France y sont inféodées. Après distinction des milieux en fonction de la dominance douce ou salée de l’eau, plusieurs grandes catégories de zones humides représentatives à l’échelle de l’ensemble du territoire national sont généralement identifiées.(1)


Trop souvent, le rôle multifonctionnel et l'interdépendance des zones humides ont été constatés et compris après leur destruction. Les problèmes socio-économiques et écologiques provoqués par la disparition ou la dégradation de ces milieux vont de l'amplification catastrophique des crues à l'érosion accélérée du littoral ou des berges, en passant par l'altération de la qualité de l'eau.
La démonstration de l'intérêt écologique, économique et sociologique de la conservation des zones humides conduit maintenant à leur conférer un statut d'infrastructure naturelle pour tenter de faire reconnaître le double bénéfice fonctionnel et patrimonial qu'elles nous fournissent. Il est alors possible de distinguer :
- les fonctions remplies par ces milieux, déduites directement de leurs caractéristiques et de leurs fonctionnements écologiques ;
- les valeurs ou services rendus, estimés par les avantages économiques et culturels (exploitation des ressources agricoles, halieutiques, cynégétiques; régulation des régimes hydrologiques et de la qualité de l'eau; loisirs...) retirés par les populations locales et plus largement par la société .
Les fonctions écologiques
Les fonctions hydrologiques
Les zones humides contribuent au maintien et à l'amélioration de la qualité de l'eau en agissant comme un filtre épurateur : - filtre physique, car elles favorisent les dépôts de sédiments y compris le piégeage d'éléments toxiques tels que les métaux lourds, la rétention des matières en suspension... ;- filtre biologique, car elles sont aussi le siège privilégié de dégradations biochimiques (grâce notamment aux bactéries, de désinfection par destruction des gènes pathogènes grâce aux ultraviolets, d'absorption et de stockage par les végétaux, de substances indésirables ou polluantes tels que les nitrates (dénitrification) et les phosphates à l'origine de l'eutrophisation des milieux aquatiques, de certains pesticides et métaux...
Elles ont aussi un rôle déterminant dans la régulation des régimes hydrologiques. Le comportement des zones humides à l'échelle d'un bassin versant peut être assimilé à celui d'une éponge. Lorsqu'elles ne sont pas saturées en eau, les zones humides retardent globalement le ruissellement des eaux de pluies et le transfert immédiat des eaux superficielles vers les fleuves et les rivières situés en aval. Elles "absorbent" momentanément l'excès d'eau puis le restituent progressivement lors des périodes de sécheresse.
Ce faisant, elles diminuent l'intensité des crues et soutiennent les débits des cours d'eau en période d'étiage (basses eaux).Certaines d'entre elles participent à l'alimentation en eau des nappes phréatiques superficielles.(2)


Les ressources naturelles liées aux zones humides conditionnent l'exercice d'activités économiques des secteurs primaire (agriculture, élevage, production et distribution d'eau)., secondaire (consommation d'eau dans l'industrie) ou tertiaire centré sur les loisirs et le plein air et la consommation d'eau potable. Aujourd'hui, la perte de bénéfices consécutive a la destruction des zones humides est de plus en plus durement ressentie. Cependant, il n'est pas aisé d'en estimer une valeur financière, les zones humides étant multifonctionnelles, ces fonctions se révélant en outre largement collectives et indivisibles. Quelques indicateurs financiers peuvent toutefois nous faire prendre conscience des enjeux socio-économiques qui s'y rapportent.(3)

BIBLIOGRAPHIE:
(1)TITRE: Définition d'une zone humide
DATE:29/01/!0
NOM DU SITE: zone humide
Disponible: http://www.ifen.fr/zoneshumides/pages/definition.htm


(2) TITRE: A quoi servent les zones humides ?
DATE:29/01/!0
NOM DU SITE: zone humide
Disponible: http://www.ifen.fr/zoneshumides/pages/medd_definition.htm

(3) TITRE: Les valeurs économiques des zones humides
DATE:29/01/!0
NOM DU SITE: zone humideDisponible: http://www.ifen.fr/zoneshumides/pages/medd_valeurseco.htm

Les zones humides


Les zones humides, espaces de transition entre la terre et l’eau, constituent un patrimoine naturel exceptionnel, en raison de leur richesse biologique et des fonctions naturelles qu’elles remplissent. Les zones humides sont parmi les milieux naturels les plus riches du monde, elles fournissent l’eau et les aliments à d’innombrables espèces de plantes et d’animaux.

Chaque année le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l'occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier.
Ce traité intergouvernemental sert de cadre à l'action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l'utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources(1).


Le thème proposé pour cette année concerne les bassins hydrographiques et leur gestion : « D’amont en aval »Les zones humides nous relient les uns aux autres. Ce slogan proposé : « D’amont en aval » reflète bien le lien nous unissant tous au bassin hydrographique: quels effets les activités des personnes vivant en amont ont-elles sur notre environnement et comment les nôtres influencent-elles la vie des personnes vivant en aval? En effet, nous vivons tous au sein d’un bassin hydrographique (ou bassin de drainage, bassin versant, etc.). La plupart des lecteurs sont conscients des défis liés à leur gestion. De plus, le défi, consistant à s’assurer que les gestionnaires de bassins englobent dans leurs projets non seulement l’eau mais aussi les zones humides, n’est pas des moindres.(2)

Cette année c’est autour du développement de l’économie locale par le biais des produits de terroirs et des activités touristiques que sera valorisé l’image et l’importance des zones humides. Le thème choisit pour cette Journée mondiale 2006 est ainsi « Les zones humides, supports d’un développement local durable(3)

En conclusion, il apparaît que les fonctions écologiques et valeurs économiques des zones humides sont intimement liées: que l'on touche à l'une des composantes, et c'est le rôle de l'ensemble qui risque d'être perturbé. De ce fait, leur gestion doit être conçue de manière intégrée dans le cadre de projets de développement durable et d'aménagement raisonné. La désignation de sites Ramsar et la mise en œuvre des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) par unité hydrographique cohérente participent à cette prise en compte du rôle d'infrastructure naturelle joué par les zones humides

BIBLIOGRAPHIE:

(1)TITRE: 2 février : Journée Mondiale des Zones Humides
AUTEUR: Grégorie Landru
DATE:21/01/10
NOM DU SITE: Journée mondial
DISPONIBLE: http://www.journee-mondiale.com/90/2_fevrier-zones_humides.htm

(2) TITRE: Journée Mondiale des Zones humides (JMZ) 2009
AUTEUR: Cheikh Mamina Diédhiou
DATE:21/01/10’
NOM DU SITE: Media terre
DISPONIBLE: http://www.mediaterre.org/jeunes/actu,20090127194832.html

(3)TITRE: Journée mondiale des zones humides
AUTEUR: Marc barral
DATE:21/01/10’
NOM DU SITE: Actu-environement
DISPONIBLE: http://www.actu-environnement.com/ae/agenda/manif/2260.php4

Les zones humides

mercredi 20 janvier 2010

La consommation




Si l’on aime se prélasser devant la télévision pour regarder un bon DVD, en sirotant une boisson sucrée, aucun doute c’est Shanghaï qui remporte la palme – en s’en tenant strictement au prix de vente des produits.

Le dernier film de James Bond, Casino Royal, y est vendu 6,13€, et un Coca-Cola de 33 cl, 30 centimes. En France, le même DVD serait vendu 25,32€ et la canette 1,04 €. En Allemagne, pays naturellement plus comparable économiquement, les mêmes produits coûtent respectivement 19,32€ et 46 centimes selon une étude de prix internationale PriceRunner.fr, qui a comparé 26 biens de consommation et produits hi-tech à travers 29 villes – 22 capitales européennes, 6 grandes villes américaines, 2 villes majeures en Chine et la capitale japonaise. «Il existe une très forte disparité au niveau des prix», confirme Charles Bourasset, chez PriceRunner. La France en sort mal classée : elle se trouve à la 21e place sur 29 dans l’échelle des prix recensés, le pays le plus cher étant la Norvège, pénalisée notamment par une forte TVA. L’enquête relève plusieurs points noirs français : l’essence et les DVD, ainsi que le Coca-Cola, le Big Mac et les tampons hygiéniques y sont particulièrement onéreux.

Cela veut-il dire que la France est un pays cher ? «Que l’Hexagone soit plus cher que la Chine n’est évidemment pas une surprise, le pouvoir d’achat y étant bien plus élevé», tempère Charles Bourasset. Il est en revanche plus étonnant que des produits mondialisés, comme le téléphone portable Nokia N95 par exemple, ne se vendent pas au même prix partout. De fait, ce téléphone mobile coûte 669 € en France contre 614€ en Grèce, 579€ en Italie ou encore 508€ à New York. (1)

Evolution de la structure de la consommation par fonction

Structure en %

valeurs en 2008
millions d'euros

Taux de variation annuel
moyen en %,
1960-2008*

1960

1970

1980

1990

2000

2008

Alimentation

27,5

20,8

16,4

14,9

13,8

12,6

178,0

1,9

Habillement

10,1

8,3

6,1

5,4

4,2

3,4

47,9

1,7

Logement

9,7

14,5

15,4

16,1

18,1

19,5

275,6

3,8

Equipement du logement

7,9

7,0

6,4

5,4

4,8

4,5

64,0

3,0

Santé

1,9

1,7

1,6

2,3

2,5

2,8

39,2

5,5

Transports, communications

9,5

10,7

13,3

13,8

13,8

13,4

188,3

4,0

Loisirs et culture

6,1

6,7

6,9

6,8

7,2

6,9

97,8

4,9

Autres

13,1

13,5

13,7

15,1

13,2

13,9

196,0

2,4

Dépense de consommation socialisée

14,1

16,9

20,1

20,2

22,4

22,9

322,8

3,7

TOTAL : consommation effective des ménages

100

100

100

100

100

100

1409,6

3,2

(2)

Les Français ont moins recours aux crédits à la consommation selon l'étude publiée par l'Assocation des sociétés financières (ASF). Selon cette enquête, au premier semestre, les crédits à la consommation ont enregistré un recul de 15,6 % en France un plus bas jamais enregistré depuis 1990 (-10,2% sur un an) par l'ASF. Les Français auraient moins recours aux crédits à la consommation selon l'étude publiée par l'Assocation des sociétés financières (ASF). Selon cette enquête, les crédits à la consommation ont enregistré au premier semestre un recul de 15,6 % en France pour un montant total de 19 milliards d'euros. "C'est une contraction d'une ampleur jusque là jamais enregistrée depuis vingt ans que la série de statistiques existe: la plus forte baisse était jusqu'à présent celle constatée au second semestre 1990 (-10,2% sur un an)" a précisé l'ASF.

Cependant, les Français ont toujours recours au crédit renouvelable ou le crédit "revolving" tant décrié par les associations de consommateurs car il est un facteur de risque de surendettement pour les ménages les plus fragiles (retrouvez notre article du 13 mars) "Alerte aux abus du crédit revolving en ces temps de crise".

Selon cette étude si la baisse est de 10,3% pour les crédits renouvelables, elle est nettement moins élevée que celle du prêt personnel qui atteint 27,3%. Quant à la baisse des crédits automobiles, biens d'équipement, elle s'affiche à 10,6%.

D'ailleurs l'UFC-Que Choisir a réagi à la publication des chiffres de cette enquête. Elle estime que cette étude "confirme la surdistribution du crédit renouvelable" ce qui reflète "l'absence de volonté des établissements de crédit de proposer des crédits affectés ou personnels" dans un communiqué.

UFC-Que Choisir ajoute qu'en période de crise et "face à la hausse exponentielle des dossiers de surendettement, cette prolifération de prêts toxiques ne peut perdurer".

Rappelons, que d'autres associations comme l'association de consommateurs CLCV ont déjà décrié les dérives du crédit renouvelable. Le gouvernement à travers un projet de loi sur le crédit à la consommation a proposé la mise en place "de garde-fous" au moment de la souscription de ce genre de crédit. Mais les associations estiment qu'il ne va pas assez loin (retrouvez
le communiqué de la CLCV.)

Ce texte de loi déjà présenté au Sénat en juin sera examiné par l'Assemblée nationale à la rentrée. (3)

BIBLIOGRAPHIE(1) :
NOM DU SITE :LE FIGAR.FR
TITRE DU DOCUMENT : CONSOMATION
DATE : 20/01/10
DISPONIBLE : http://www.lefigaro.fr/conso/2007/11/29/05007-20071129ARTFIG...

BIBLIGRAPHIE(2) :
TITRE DU DOCUMENT:Tendances longues de la consommation des ménages
NOM DU SITE:INSEE
DATE:20/01/10
DISPONIBLE:
http://insee.maquettes.cndp.fr/cons/quoi/tendanceslongues.ht...

BIBLIOGRAPHIE(3) :
NOM DU SITE :LA TRIBUNE.FR
TITRE DU DOC :Les crédits à la consommation en France sont en nette baisse
DATE :20/01/10
DISPONIBLE :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20090724t...

samedi 16 janvier 2010

La consommation




Introduction : La consommation à un impact direct sur nous et surtout à l’environnement. Nous ne nous rendions pas compte mais nous sommes entrain de gaspiller la planète. Voici quelques articles que j’ai trouver :

Après avoir baissé de 0,9% en décembre, les dépenses de consommation des ménages français en produits manufacturés ont rebondi de 1,8% en janvier, selon les données publiées mardi par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Dans le commerce de détail, les dépenses progressent aussi de 2 % (après -1,8 % en décembre), selon l'Insee. Au mois de janvier, les dépenses de consommation en biens durables augmentent nettement (+2,7% après -0,8 % au mois de décembre) sous l'effet de la hausse des dépenses en biens d'équipement du logement (+3,0% en janvier après -3,1% en décembre) et du dynamisme des achats d'automobiles (+2,8% après +1,9%) tirés par la prime à la casse, explique l'Institut national de la statistique. Enfin, les dépenses de consommation en autres produits manufacturés restent stables en janvier (après -0,9% en décembre). (1)

L’importance de la consommation dans la vie de chacun, son poids dans l’activité économique, son incidence sur la structuration des liens sociaux et son impact sur l’environnement ne sont plus à démontrer. Au cours de la dernière période, la montée de l’aspiration à une consommation durable et responsable, la crise financière et l’apparition de nouveaux produits et services à haute valeur ajoutée technologique sont autant de facteurs qui ont accéléré les évolutions déjà rapides des modes de consommation.

J’organise donc, avec Mme Christine Lagarde, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi à Bercy, le 26 octobre prochain, les Assises de la Consommation au cours desquelles seront traités les sujets suivants :

- Les nouveaux modes de consommation : « Sommes-nous en train de changer de modèle en matière de consommation ? »,

- Le renforcement des institutions et associations de consommateurs,

- Les améliorations à apporter au droit national et communautaire de la consommation,

- Les modes de résolution des conflits entre consommateurs et entreprises.

A l’occasion de cette journée animée par la journaliste Isabelle Giordano, les meilleurs spécialistes de la consommation s’exprimeront sur les enjeux d’une politique de la consommation moderne et responsable.

Je compte que les débats qui s’y tiendront nous permettrons de bâtir le schéma d’ensemble d’une politique de la consommation prenant en compte les intérêts économiques, les nouveaux besoins de protection des consommateurs et le développement durable.

Christine Lagarde,
Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi

Hervé Novelli,
Secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des petites et moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation
(2)

Type de manifestation : Journée

Equipe de recherche : Sociétés, entreprises et territoires

Date : jeudi 21 janvier 2010

Présentation :
Organisée par Mmes Sabine EFFOSSE, Maître de conférences, CeRMAHVA, IDHE, Tours), et Isabelle GAILLARD, Maître de conférences, LARHRA, Grenoble)
à l’Université de Paris Ouest Nanterre, La Défense, Bâtiment K, Salle du rez-de-chaussée (3)

Conclusion : Nous sommes tous responsables des conséquences produites mais, est-ce que c’est tard pour réagir ? On ne peut pas le savoir mais par contre on sait que l’on doit réagir le plus rapidement possible.

Bibliographie :

(1)NOM DU SITE : Larhra

TITRE : journée internationale sur le crédit à la consommation

DATE : 16/01/10

DISPONIBLE : http://larhra.ish-lyon.cnrs.fr/Informations/Agenda_fr.php?ID=325

(2)NOM DU SITE : Les assises de la consommation

TITRE : Edito

DATE : 16/01/10

DISPONIBLE : http://www.assises-consommation.fr/

(3)NOM DU SITE : Le figaro

TITRE : La consommation des ménages rebondit en janvier

DATE : 16/01/10

DISPONIBLE : http://www.lefigaro.fr/conso/2009/02/24/05007-20090224ARTFIG00315-la-consommation-des-menages-rebondit-en-janvier-.php

vendredi 15 janvier 2010

La consommation


La consommation désigne en premier lieu l'achat mais c'est aussi un ensemble d'usages des biens, des interactions sociales autour de cet acte d'achat, généralement dans le but de satisfaire des besoins ou des désirs. Elle est le fait des consommateurs, des entreprises et de l'État. Elle dépend également des usages des groupes sociaux, des contraintes de la vie collective, de la construction sociale du marché, et des effets de la mondialisation(1)

Le consommateur rationnel est dans la théorie néo-classique de l'homo oeconomicus, une des faces de ce même homo oeconomicus, avec le producteur rationnel.
Le concept de rationalité en science économique est apparu dans les années 1930, mais hérité des marginalistes des années 1870. La notion de rationalité désigne, depuis Aristote, l' « adaptation des comportements des individus par rapport aux buts qu'ils poursuivent ». Les économistes classiques et les marginalistes ont identifié ce comportement rationnel à un processus de maximisation de l'utilité.
On considère généralement un comportement rationnel comme une simple utilisation cohérente des moyens dont on dispose pour faire certains choix précis. Pour l'économiste, le concept de rationalité pure (ou optimisatrice) repose sur certaines hypothèses et signifie que l'on choisit de consommer en fonction d'un ordre de préférence complet et transitif, avec une informations parfaite et sans coût.
Ce postulat d'une rationalité absolue qui est un des fondements de l'analyse économique classique se trouve cependant devoir être nuancé. Un simple regard extérieur suffit à trouver des exemples où le consommateur fait des actes qui peuvent nous sembler irrationnels.
Cependant pour comprendre les actions du consommateur il faut poser ce postulat de base de rationalité qu'il conviendra ensuite de nuancer.
Néanmoins, pour véritablement comprendre le concept de rationalité, il faut le replacer dans la théorie générale du consommateur.(2)


En France, le droit de la consommation concerne l'ensemble des dispositions réglementaires destinées à encadrer le commerce de biens et de services à destination des particuliers. Aux abus de toutes sortes pratiqués par certains professionnels du commerce, les consommateurs peuvent trouver de l'aide auprès de nombreuses associations spécialisées.

Le Droit Français consacre un code complet aux litiges qui peuvent survenir entre un consommateur et une entreprise de commerce ou de services, un artisan, une administration, un professionnel exerçant une activité libérale ou encore un assureur. Le portail du droit français Legifrance permet de consulter les cinq livres du Code de la Consommation sous la forme d'un fichier hypertexte de 140 pages. Il existe 18 grandes associations de consommateurs agréées par l'Etat français, et présentes sur l'ensemble du territoire. Chaque association est compétente à œuvrer dans un ou plusieurs secteurs d'activités comme l'alimentation, les finances, le logement, l'énergie, les transports, les NTIC... L'Institut Nationale de la Consommation (I.N.C) est l'organisme d'Etat chargé de rediriger les particuliers vers les associations ayant la compétences pour régler leurs problèmes.(3)

BIBLIOGRAPHIE(1) :
NOM DU SITE : WIKIPEDIA
TITRE DU DOCUMENT : CONSOMATION
DATE : 15/01/10
DISPONIBLE : http://fr.wikipedia.org/wiki/consommation

BIBLIGRAPHIE(2) :
TITRE DU DOCUMENT: LE CONSOMMATEUR EST-IL RATIONNEL ?
NOM DU SITE: ( OBOULO.COM )
DATE:15/01/10
DISPONIBLE: http://www.oboulo.com/consommateur-est-il-rationnel-25589.html

BIBLIOGRAPHIE(3) :
NOM DU SITE :LES ANNUAIRES
TITRE DU DOC :CONSOMATEUR
DATE :15/01/10
DISPONIBLE : http://www.lesannuaires.com/annuaire-consommateur.html