L’occident demande une part de plus en plus grande de la prospérité mondiale.
Cette richesse, comme nous l’avons vu, n’est pas équitablement répartie. Tandis que l’occident baigne dans l’abondance alimentaire, et où le surpoids et l’obésité sévissent, les pays en voie de développement, eux, traversent des graves crises alimentaires.
4 multinationales se partagent 90 % du commerce mondial de céréales, ce qui crée des inégalités et des dépendances alarmantes.
Aujourd’hui la question n’est plus de savoir i il y a assez de nourriture pour tous les êtres humains, il faut reformuler la question. Les dirigeants des pays riches on-t-ils la volonté politique de remédier à ce problème, ou cette situation leur est-elle profitable ?
L’ article 25 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme exprime « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation… »
Avoir accès à l’alimentation n’est pas un privilège ou un luxe, c’est un droit ! 1
La faim dans le monde est un crime à l’humanité, un attentat contre l’être humain, qui se détruit et souffre par lui-même ! Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours, ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendues (ce qu’on est parfois tenté de se demander), ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement ou ces droits sont malheureusement trop souvent erronés.
Les causes cette injustice mondiale, qui représente le principal défi pour l’humanité, sont soient naturelles (conjoncturelles), soit issues de l’homme lui-même (structurelles). Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement (ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu). Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras, car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre. Au contraire : il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent, malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème, de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps. C’est pourquoi il faut tous se mobiliser et rester solidaire envers les personnes en difficulté : si chacun fait un peu, le résultat n’en sera pas moins important et on devrait rapidement arriver à de nettes amélioration.2
Article 27
Les États parties adoptent les mesures appropriées, compte tenu des conditions nationales et dans la mesure de leurs moyens, pour aider les parents et autres personnes ayant la charge de l'enfant à mettre en oeuvre ce droit et offrent, en cas de besoin, une assistance matérielle et des programmes d'appui, notamment en ce qui concerne l'alimentation, le vêtement et le logement.3
BIBLIOGRAPHIE 1 :
NOM DU SITE :The armenian times
TITRE : Conclusions
DATE : 30/04/10
ADRESSE : http://armeniantimes.eu/index.php?q=node/290
BIBLIOGRAPHIE 2 :
NOM DU SITE : R V Web
TITRE : La faim dans le monde (8) : Conclusion
DATE : 30/04/10
ADRESSE : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/11-la-faim-dans-le-monde-7
BIBLIOGRAPHIE 3 :
NOM DU SITE : Pages infinit
TITRE : Conclusion
DATE : 30/04/10
ADRESSE : http://pages.infinit.net/cybersoc/faim/conclusion.htm
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